Edited by Dalila Calisolo —
Le Musée de San Domenico par Forlì annunciano, à partir de 13 février 2016, "Piero della Francesca. Enquête d'un mythe".
On dit qu'une exposition comme ça n'était jamais réalisée.
Pour rendre possible le rêve Chorus, auprès du général direction de Gianfranco Bao une Comité scientifique présidé par Antonio Paolucci, qui comprennent, entre autres, Frank Dabell, Guy Cogeval, Fernando Mazzocca, Paola Refice, Neville Rowley, Daniele Benati, Ulysse couchers de soleil, James Bradburne, Marco Antonio Bazzocchi, Luciano Cheles et Maria Cristina Bandera et John Villa.
Entreprise difficile qui a proposé à Forlì. Pourquoi mettre ensemble un noyau de œuvres de Piero, artiste aussi haut que « rares », est déjà une tâche complexe.
Pourra alors proposer une comparaison à ce niveau avec beaucoup de grands maîtres de la RenaissanceDe Domenico Veneziano, Fra Angelico, Uccello dans Andrea del Castagno, entre autres, n'est pas tâche facile.
Car il est difficile de réussir à documenter, apportant toujours chefs-d'œuvre, influence de Piero sur des générations d'artistes à côté de lui : Francesco del Cossa, Luca Signorelli, Marco Zoppo, Melozzo da Forlì et Antoniazzo Romano mais aussi Giovanni Bellini et Antonello da Messina.
Mais cette exposition, qui déjà, donc ce serait un événement historique, va plus loin, enquête sur le mythe de Piero lorsqu'il fait revivre, après des siècles d'oubli, dans la modernité, en Macchiaioli, Borrani, Lega, SignoriniPar exemple. Mais surtout pour le charme que sa peinture a sur nombreux artistes européens : Johann Anton Ramboux ou Charles Loyeuxjusqu'au début du XXe siècle anglais découverte fondamentale liée en particulier à Roger Fry, Duncan Grant et à la Groupe de Bloomsbury.
Puis dans la restauration des anciennes échos qui résonnent dans Degas, Seurat et SignacImpressionnisme, entre les chemins, à la rémanence des puristes Puvis de Chavannes, essais métaphysiques de Odilon Redon et surtout, le point de vue géométrique Cézanne. Chance de l'artiste du XXe siècle est confiée aux Italiens Guidi, Carrà, De Chirico, Casorati, Donghi, Morandi, Campigli, Sironi, Funi, Ferrazzi par rapport à des artistes étrangers comme fondamentale Le Corbusier, Balthus et Edward Hopper qui a rendu l'héritage de Piero à la modernité complet et universelle.
C'est la réflexion fascinante entre la critique et l'art, entre la recherche historiographique et production artistique depuis plus de cinq siècles pour constituer le leitmotiv de l'exposition Piero della Francesca. Enquête d'un mythe. Par chance dans la vie – Luca Pacioli a défini « le monarque de la peinture » – à l'oubli, la redécouverte.
L'éternelle immobilité humaines solides de Piero, de ces visages à peine touché par une ombre de la passion continue de perpétuer ses personnages, les élever au-dessus du chaos, la médiocrité, dans une paix surnaturelle que nous considérons aujourd'hui comme révélations.
L'exposition est organisée par Fondazione Cassa dei Forlì di Risparmi en collaboration avec la municipalité de Forlì.
SOURCE Appuyez sur bureau Studio ESSECI, Sergio Campagnolo