Examen par Neco Verbis —
Once upon a time (et encore aujourd'hui) « paresseux », pour les éditeurs désireux de nombreux lecteurs fait « sélections » des œuvres littéraires célèbres, pour éviter la fatigue oculaire et surtout aux synapses des riches abonnés…Il y a toujours ces "synthèses", définies maintenant "spiritueux"…Mais le œuvre littéraire originale n'a jamais reçu pleine justice pour ces opérations ?
Il semble donc au lecteur que tu aimes le chef-d'œuvre uncut, ainsi que le pain. En bref, de l'avis de cet écrivain a toujours été et est toujours une opération arbitraire en ce qui concerne le résultat, tant du point de vue de "réducteur" celui du lecteur. Il est dit qu'une bonne boîte de vitesses est capable de condenser un chef-d'œuvre. Comme il est dit qu'un lecteur intelligent n'est pas en mesure de lire tout cela et à l'apprécier.
Quand puis est cinéma pour prendre la place de la boîte de vitesses, donc gamme des lecteurs a été élargi à celui des spectateurs des salles de cinéma et, toutes proportions gardées, est soumise à étendre également la dose de paresse. Les lecteurs sont conscients d'être telle…les utilisateurs du cinéma, au lieu de cela, devenir involontairement, mais, croyant que vous allez voir un film basé sur une tragédie littéraire (avant de jouer) sans le lire, ne rencontrer dans un abattement dans le script pour un film de grande qualité, mais dans le résumé de "sélection" de « distillat »…Ou, en l'occurrence, dans le film Macbethréalisé par Réalisateur de cinéma australien Justin Kurzel, 1974, dans ces premiers jours de classe 2016 dans les salles italiennes.
Dans Scénario & Dialogues, Kurzel n'a fait que suivre, même sans retenue, chef-d'œuvre dans le livret d'opéra pour réduire Giuseppe Verdi par Francesco Maria Piavemais il a réussi à résumer maladroitement trop. Cela a créé un condensé insensée, sanglante, brumeux et surtout ennuyeux du chef-d'œuvre dans aucun coup d'oeil et vous le regardez.
En ce qui concerne Scénarisation de refendage, réduit à l'OS, en effet, qui sait au moins une partie du charme du réel, Macbeth, est conçu comme une tragédie, qui, alors, comme un opéra, vous pensez que devrait sortir au moins décontenancé par le cinéma : n'ont ne pas aimé ni goût de puriste, ni celle de l'amateur de musique, ni spectateurs des films de qualité, surnommé mauvais, par ailleurs, en italien, vu que vous le pensez par maintenant que « classique » signifie « raides » , « obscur » et « monotone ».
Et puis aller sur une partie de la Spectacle visuel, le protagoniste Macbeth, Michael Fassbenderrecitativamente, bien disposé, arrive même à se baigner le purificateur de sang du roi Duncan dans Slip improbable…
La folie de Lady Macbeth, puis, réduits à trois mots et quelques photos du visage de l'actrice Marion Cotillardavec une atmosphère béat de réalisateur La passion du Christ par Mel Gibsonaller sur un saccage, il aura fait plusieurs téléspectateurs exigeants.
Pour ne pas mentionner Banquo privés de tout attribut visuel et sonore chevaleresque ; les sorcières, quatre sont devenus presque mendiants sans aucun air de mystère ; les batailles seulement fait allusion à un faible coût ; la Cour d'Écosse un mortorio di fantocci schierati, les apparitions On ne sait pas si…Dans l'ensemble, avec quelques vague rappel des protagonistes, dans des poses à l'intérieur du château, le peinture de FüSSLI, est enveloppé dans les extérieurs de un brouillard constant qui devrait jouer une aura de charme le bien paysages sauvages de l'ÉcosseS'il n'était pas si, au contraire, fera encore plus clairement le Halo involontairement dans le foyer des moments cruciaux de la tragédie, même visuellement.
Une tragédie est devenue une caricature d'un solennité arrachéemême irrespectueux pour les amateurs de Shakespeare (et vert) ; pas satisfaisant pour le téléspectateur moyen que les cercles de cinéma même augmenter légèrement, quant à l'objet, période strictement après Noël ; ennuyeux pour le spectateur distrait ; énigmatique pour le néophyte.
En bref : Macbeth de William Shakespeare C'est autre chose et il aurait été préférable d'éviter les incomodarlo. Opération difficile traduire Shakespeare al cinema, c'est vrai : nous avons essayé dans plusieurs, juste avec Macbeth à la fine pointe…Inutile de mentionner les illustres prédécesseurs des architectes de ce film aujourd'hui : c'est peut-être mieux, cependant, fermer le couvercle, très bien illustré de hype riche et placez-le comme aussi haut que possible sur les tablettes de la cineteca désiré mental celui qui, étant donné le titre, d'aborder un film digne de ce nom.
Neco Verbis ©