Da de Roberto Alagna WERTHER diretto Michel Plasson : capolavoro un Bilbao (extraits suivants de traduction français et anglais)

Par NATALIA DANTAS suivants extraits de la traduction Français et anglais

Bilbao, 26 janvier 2015.


Brume des pluies de Bilbao janvier enveloppé une conserve de toute beauté originale et colorée d’une ville qui ressemble à l’agrément comme une image abstraite, où déplacer le routage plein de surprises…Sur l’un d'entre eux, le Centre de conférence Euskalduna est un must. Beau bois à l’intérieur, sous un plafond étoilé, le théâtre espagnol a vu se dérouler sur sa scène moderne, un spectacle qui a été annoncé comme un événement et que comme tel il vraiment prouvé au public de la ville Basque, dans le cadre de la saison 2014-2015 par Abao Olbe d’opéra : Werther, le chef-d'œuvre de Massenet.

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Werther n’est pas le œuvre de musique de détente ni facile. L’immense salle du théâtre à Bilbao, rempli à pleine capacité, s’est félicité de la chaleur instantanée sur podium grand maître Michel Plasson, conduisant le Bilbao Orkestra Sinfonikoa puissant.

M ° Michel Plasson
M ° Michel Plasson

Et’ un directeur aux pouvoirs mystérieux, le maître Plasson…L’orchestre sous sa baguette semble devenir une argile à modeler douce. Belle ductilité démontré Abao Olbe, elle a quitté la forme selon la dynamique de l’un des derniers dépôts d’inflexible Tradition Francais dans le domaine de l’opéra.

Capable de clair-obscur à l'aquarelle, de superpositions de couleurs presque fauves, d'ondulations sonores sur des surfaces cristallines, ainsi que de coups de fouet soudains à l'âme ou de coups bien dirigés et bien ciblés, la mise en scène de Plasson s'est, comme toujours, révélée être une palette. plein de couleurs, de nuances, d'expressions changeantes. Chacun de ses mouvements sobres faisait ressortir des émotions sonores improbables et célestes, chaque accent était pleinement capté, chaque soulignement devenait un coup de pinceau. Sa sensibilité et, en même temps, sa rigueur ont fait que le chef-d'œuvre a pris forme et s'est déroulé, avec la fluidité étudiée par le grand réalisateur et avec les temps calibrés par le connaisseur très raffiné. Tout ce que Plasson peut obtenir d'un orchestre l'a été à Bilbao et je l'apporte à l'auditeur comme sur un plateau d'argent : la lecture philologique la plus pure se conjuguait à une expressivité variée des sentiments qui venaient bouleverser l'auditeur, notamment dans le quatrième acte, où les mouvements les plus profonds de l'âme humaine, exprimés et exigés par le chef-d'œuvre de Massenet, ont atteint des sommets surnaturels. Le fouet qui conclut l’œuvre captive alors pleinement le spectateur, avec la force violente et la puissance que le compositeur lui-même aurait souhaité. Un Werther bien dirigé peut également être jugé par la seule ligne finale. Et ici, la perfection a régné dès le premier pas. Personne au monde ne dirige aujourd’hui Werther comme Michel Plasson.

Si il se joint à la présence sur scène d’un maître de chant Français comme le ténor Roberto Alagna, puis vraiment toucher des sommets d’anthologie. Appariement Plasson-Alagna est gagnant, il a toujours été, mais maturité semble unir les deux grands musiciens dans une liaison plus étroite, montrant de plus en plus excitant.

Les deux maîtres sont également uniquement avec l’aspect et le voir direct Plasson est un spectacle, comme il est vu et entendu chanter Alagna réalisé par lui : le soutien apporté aux interprètes, pour la première, est le chef le plus entendu et que je n’ai jamais rencontré d’alerte. Ensemble, ils ont fait le chef-d'œuvre.

Roberto Alagna était à Bilbao un Werther fier, jamais trop sucré, déterminé et presque héroïque ; exacerbé dans son mémoire tragique à un droit étranger, voire violent, contre sa sera, dans l’expression de leurs sentiments à l’égard de Charlotte. Mais en même temps impuissant et seul, une solitude désespérée, qu’il était un matériel et son point culminant dans la méditation absorbé l’action extrême, par derrière, en face de la fenêtre, face à une tempête de neige.

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Roberto Alagna fait juste que l’expérience volitive Werther et espagnol avec le stade de maturité que vous obtenez seulement après vous avoir foulé les planches de la scène en 30 ans de carrière. Un Werther, celui d’Alagna, capable désormais de donner le caractère l’expérience d’une cinquantaine et, par conséquent, toutes les nuances dont vous pourrez en pleine maturité, pas seulement vocale, mais avant tout de la vie : les mêmes qui se passe encore dans le rôle de Roméo dans Gounod : c’est extraordinaire combien votre article est maintenant et toujours parfait de ces rôles.

L’internalisation des personnages, aussi, est devenue si profonde, que chanter de plus en plus Werther la costa bouleverse d’esprit et de nuits blanches. C’est juste la sensibilité de grands artistes, qui viennent d’être même hypersensible et dans lequel l’expressivité vocale et sa transmission à l’auditeur, qui est fasciné, qu’elles touchent les sommets métaphysiques mystérieuses. Une fois incarné Werther, puis, comme le grand mât Plasson, Werther pour toujours…

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En ce qui concerne les données techniques, le phrasé du ténor sicilien Français, sa diction, son légat ont été par le livre. Pas un frottis ou un accent mal placé ; pas une fissure : une voix de cristal, puissante, capable de bondir vers le bas du public espagnol infini et créer une émission tellement taré qu’Ecoute à pianissimo de la dernière rangée. Démarche chancelante de la fraîcheur de sa voix, toujours parfaitement adapté à la partie, ce qui nécessite une interprétation sur un niveau élevé, depuis le premier acte, l’outil Lissage de trajectoire. Là encore, déjà, « Je ne sais si je veille…Ou Nature…« froid et riche en nuances, il est certainement pas facile. Mais, suivant le chemin de la partition, massenetiana vocal devient plus lourde, les difficultés augmentent, nous arrivons à la troisième acte à la virtuosité de l’un des plus difficiles l’Arias de l’Opéra de tous les temps, mais aussi l’un des plus célèbres et aimés : « Traduire… -Croyez-moi reveiller…« Les profondeurs insondables de l’âme humaine, de sortir dans ce passage avec un arcana force et choquant de pouvoir Abao Olbe. Par ailleurs, certainement dans les oreilles du public espagnol ne pouvaient pas écho les sons d’expression des autre célèbre Werther. Alagna ne regrette pas, en effet…son être parlant Français lui a donné la carte d’atout, dirigée par une grande chance de donner le maximum de la propre grandeur. Donc c’était et, à la fin de la chanson célèbre, raves requêtes par bis et les applaudissements, ne tronquée qu’à partir de Plasson imparable, a démontré toute la gratitude et la reconnaissance du public. Le quatrième acte, sur une scène de suicide autoroute, apothéose. Aujourd'hui, personne au monde interprète le Werther comme Roberto Alagna.

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Un joueur de ce calibre nécessaire un bon ’ Charlotte…Et trouvé dans le subtil et souple Elena Zhidkova. Une hautaine et Charlotte jamais doux, souple et généreux, scéniquement frappant les expressions émotionnelles et présage de vocalement phrasé élégant. Pour mettre en évidence sa pertinence dans l’émission et sa projection impressionnante, surtout dans les lettres de feutre, ainsi que l’Assemblée, l’air admirable coordinationavec la protagoniste de partenaire en duo.

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Tout aussi intéressante performance du baryton espagnol expérimenté Manuel Lanza, qui, reprenant un Albert expressif et entendu, a créé efficace et crédible à un personnage qui n’a pas de compétences particulières à son goût.

Agréable et fixe tous les autres artistes, y compris la belle Sophie de Elena de la Merced, le puits caractérise le Bailli de Stefano Palatchi et deux remarquables et bien coordonné Schmidt et Johann de Jon Plazaola et Fernando Latorre.

Délicat et réalisé par de Julia Foruria Gaudeamus Korala ' choir, qui a chanté avec une chaleur particulière, le célèbre chant de Noël.

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Tout un groupe d’artistes qui s’est avéré, par conséquent, cohésion élevée et professionnalisme, sous la direction du réalisateur David Alagna, metteur en scène raffinée, mais aussi excellent compositeur, frère de Roberto, qui a supervisé un directeur d’une grande beauté, ayant également la capacité inhabituelle de placer chaque personnage en faveur de l’acoustique à l’immense Hall de Bilbao.

Frappant ses lectures d’enfant « pur » âme de Werther, vêtu de blanc, au début, échangeant leur pureté, un voile blanc comme neige, avec l’apparition et la Convention, le chapeau donné à lui-même. Il retourne dans la troisième et la quatrième place, pure dans la lutte pour l’amour, son retour vêtu de blanc même en tant qu’adulte, mais surtout trouver finalement ce voile et ensuite transformer en mort tragique, mais non jamais coupable : un Werther crédible, mais en même temps romancée fascinante.

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Cadre très pittoresque toujours par David Alagna, qui a su faire écho à certain âge d’or de l’opéra…Ou, quand sur la scène étaient encore objets. Et même les objets à Bilbao a fait non seulement des scènes, mais aussi mise en scène. Verres et bouteilles sur la table, jetés loin de Werther au deuxième acte ; le tapis sur le Bureau de la protagoniste, qui devient sa couverture et le Saint-Suaire dans la finale…tous étudiés en détail, dans les décors et la présence de l’ameublement. Un renouveau qui a vraiment le public a admiré les gloires des étapes 50 des années.

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Tous contenus dans un somptueux, monumentale, également gardés, habilement éclairée par les lumières d’Aldo Solbiati et enrichi par la coloriste élégant et symbolique Louis Desiré ottocentesci costumes et aussi animé par de nombreux observateurs et par chariot et de chevaux, comme sur un tournage.

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La production de David Alagna, déjà au Regio de Turin en 2005, a renforcé la splendeur alors renouvelé et remarquable, comme on avait vu récemment dans le théâtre italien DVD sorti le Deutsche Grammophon, sempre protagoniste de Roberto Alagna.

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En croissance exponentielle au cours de la soirée l’enthousiasme de la déjà chaud public espagnol de Euskalduna, qui a reconnu une Ovation finale impressionnante puissance et durabilité, le directeur et le protagoniste, Unis comme toujours dans une étreinte symbolique qui a secoué tout le public, les deux promoteurs de l’art de l’opéra Francaise de nos jours et en eux et dans tous les autres créateurs et interprètes la valeur qualitative offerte par un théâtre de niveau international comme Abao Olbe à Bilbao.

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© Natalia Di Bartolo

De Roberto Alagna de la page officielle sur Facebook @roberto_alagna @ABAO_OLBE
Werther (Bilbao) | Par CHRONIQUE Natalia Dantas pour Opera&Opéra Magazine (03/02/2015) | “Une fraîcheur stupéfiante, vocal force résolue de l ' experience, une puissance bouleversante, fier de Werther et héroïque”
Extrait (traduit de l'italien) :
“[…] La combinaison Plasson – Alagna a toujours été gagnante, mais la maturité semble unir plus étroitement encore ces deux grands musiciens, avec un résultat toujours plus éblouissant. […] A Bilbao, Roberto Alagna fut un Werther fier, jamais trop édulcoré, déterminé et presque héroïque. […] Roberto Alagna s’est approprié ce Werther espagnol avec la force résolue de l’expérience et avec une maturité scénique que l’on ne peut obtenir que lorsqu’on a trente années de carrière derrière soi. Le Werther d’Alagna est capable aujourd’hui d’offrir au personnage l’expérience de vie d’un quinquagénaire et, donc, toutes les nuances dont on peut être capable dans la pleine maturité, vocalement comme humainement : cette même maturité que l’on retrouve aussi dans le rôle de Roméo de Gounod : il est extraordinaire de constater comme sa voix actuelle est toujours parfaite pour de tels rôles. […] C’est le propre de la sensibilité des grands artistes que d’être capable de reporter son hypersensibilité sur son expression vocale et de la transmettre à un auditoire qui s’en trouve comme fasciné… Comme le dit Plasson, une fois qu’on a incarné Werther, on est Werther pour toujours […] Pas un défaut dans le phrasé du ténor franco-sicilien et sa diction : une voix de cristal, puissante, capable de se projeter aisément mais une émission qui permet aussi d’entendre le pianissimo de la dernière ligne. La fraîcheur de sa voix est stupéfiante, elle est toujours parfaitement adaptée et autorise une force d’interprétation dont l’intensité ne cesse de croître depuis le premier acte. […] « Traduire… Pourquoi me réveiller… » A l’ @ABAO. Ópera de Bilbao, Alagna est parvenu dans cet air à exprimer les insondables profondeurs de l’esprit humain, avec une force mystérieuse et une puissance bouleversante. En outre, le public espagnol avait certainement dans les oreilles d’autres célèbres Werther. Alagna ne les lui fit pas regretter. […] Au cours de la soirée, l’enthousiasme du public espagnol, chaleureux, est allé crescendo jusqu’à une ovation impressionnante au final.”
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WERTHER (Bilbao) | REVIEW by Natalia Di Bartolo for Opera&Opéra Magazine (03/02/2015) | “An amazing vocal freshness, the resolute strength of experience, an overhelming power, a proud and heroic Werther”
Extrait (traduit de l'italien) :
“[…L'association “Plasson / Alagna” depuis toujours, un partenariat gagnant, mais l'échéance semble s'unir plus étroitement ces deux grands musiciens, avec un résultat toujours plus éblouissant. […] À Bilbao, Roberto Alagna était un fier Werther, jamais arrosé vers le bas, déterminé et presque héroïque. […] Roberto Alagna maîtrisé dans cette Werther espagnol l'alimentation résolue d'expérience et d'une maturité sur la scène que vous seulement pouvez obtenir lorsque vous avez trente ans de carrière derrière vous. Werther de Alagna est capable aujourd'hui d'offrir ce personnage l'expérience de la vie de la cinquantaine, et par conséquent toutes les nuances un chanteur peut apporter quand il se rend compte de tout le potentiel de son art, aussi bien vocalement et humainement : la même maturité qui a été également trouvée dans son interprétation de Roméo de Gounod. C'est extraordinaire d'entendre comment sa voix actuelle est toujours parfaitement adapté pour ces rôles. […C'est la nature des grands artistes sensibles pour pouvoir transmettre leur hypersensibilité à travers leur expression vocale à un public fasciné … Comme dit Plasson, une fois que vous avez incarné Werther, vous êtes Werther forever […] Pas une seule imperfection dans du ténor Français-sicilienne phrasé et une diction : une voix de cristal, puissante, devrait facilement, mais une interprétation qui permet également d'entendre la dernière ligne de pianissimo. La fraîcheur de sa voix est incroyable, il est toujours parfaitement adapté et permet une performance sur scène, dont l'intensité cesse d'augmenter depuis le premier acte. […] “Traduire... Pourquoi me réveiller…” À l'abdou. Opéra de Bilbao, Alagna a réussi dans cette aria pour exprimer la profondeur insondable de l'esprit humain, avec une force mystérieuse et à la puissance. En outre, le public espagnol avait certainement autre Werther célèbre toujours à l'esprit (et oreilles). Alagna ne vécut pas à regretter leur. […Durant la soirée, les spectateurs espagnols favorables ont montré un grand enthousiasme, qui a grandi crescendo à une impressionnante ovation à la fin.”

Natalia Dantas

Foto Pagina Fb Roberto Alagna, Martine Garnier, AA.

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